érasme |
Compl. Titre | grandeur et décadence d'une idée |
Auteurs | Zweig, Stefan (Auteur) Hella, Alzir (Traducteur) |
Edition | Librairie générale française : Paris , 1996 |
Collection | Le Livre de poche N°14019 |
Collation | 185 p. |
Illustration | ill., couv. ill. en coul. |
Format | 18 cm |
indice Dewey | 92 |
ISBN | 978-2-253-14019-1 |
Prix | 30 F |
Langue d'édition | français |
Langue d'origine | allemand |
Sujets | BiographiesEt la R |
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Contient :
D'Erasme de Rotterdam (1467-1536), on ne connaît plus guère que ses portraits peints par Holbein, Dürer, Quentin Metsys, son ami, et une oeuvre, Eloge de la folis associée à un mot : l''humanisme. Decette figure marquante de la Renaissance, Stefan Zweig nous donne ici un portrait qui lui restitue toute sa dimension. Grand voyageur, Erasme fut le premier penseur à se définir comme Européen. A l'affût tous les savoirs, passionné d'mprimerie, il prôna l'acès de tous à la culture et à la connaissance. Réformateur audacieux, mais épris de tolérance et de dialogue, il dénonça tous les fanatismes, chercha à conjurer la rupture religieuse qui allait ensanglanter l'éurope.Il fut le premier intellectuel au sens moderne, père spirituel de Spinoza ou de Voltaire. Grâce à Erasme, écrit Stefan Zweig, il existe en Europe une puissance nouvelle : celle de la plume. Publié en 1935, cet essai reflétait les préoccupations de l'écrivain autrichien, dans une Europe en proie aux totalitarismes et bientôt à la guerre. Il n'a rien perdu de son actualité.
D'Erasme de Rotterdam (1467-1536), on ne connaît plus guère que ses portraits peints par Holbein, Dürer, Quentin Metsys, son ami, et une oeuvre, Eloge de la folis associée à un mot : l''humanisme. Decette figure marquante de la Renaissance, Stefan Zweig nous donne ici un portrait qui lui restitue toute sa dimension. Grand voyageur, Erasme fut le premier penseur à se définir comme Européen. A l'affût tous les savoirs, passionné d'mprimerie, il prôna l'acès de tous à la culture et à la connaissance. Réformateur audacieux, mais épris de tolérance et de dialogue, il dénonça tous les fanatismes, chercha à conjurer la rupture religieuse qui allait ensanglanter l'éurope.Il fut le premier intellectuel au sens moderne, père spirituel de Spinoza ou de Voltaire. Grâce à Erasme, écrit Stefan Zweig, il existe en Europe une puissance nouvelle : celle de la plume. Publié en 1935, cet essai reflétait les préoccupations de l'écrivain autrichien, dans une Europe en proie aux totalitarismes et bientôt à la guerre. Il n'a rien perdu de son actualité.
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